De plus en plus de célibataires

En 2007 les célibataires représentent près de 14 millions au Canada (source statistique canada) et 36,9% des plus de 15 ans en France (source INSEE). Plus qu’un phénomène marginal, les adultes vivants seuls sont de plus en plus nombreux. Je me suis donc questionné sur les raisons de ce phénomène propre à notre société moderne.

En regardant les statistiques (et je vais vous épargner de les citer de long en large), on remarque que le taux de célibataire varie selon l’âge et le sexe. Il existerait donc divers explications quant au nombre de célibataires. En voici donc les principaux

Vivre en couple : pas tout de suite !

Dans un passé pas si lointain, lorsque vous quittiez le foyer familial c’était pour fonder votre propre famille. Or, de nos jours nous ne devons plus attendre d’être en couple pour quitter le nid familial. Bon nombre de jeunes adultes décident de quitter leurs parents pour vivre seuls en attendant de fonder leurs familles. Ce phénomène est accentué par l’accroissement des  études  prolongés. Études supérieurs riment souvent avec milieu de vie temporaire qui peut être dans une ville étrangère à notre région. Il est alors difficile de s’établir quand on songe à quitter dans quelques années.

De plus en plus de séparations

Même une foi en couple notre situation peut changer. Si dans la vingtaine vous aviez choisi de vivre seul le temps de trouver votre partenaire idéal, entre 30 et 50 ans c’est le divorce qui vous attend. Le nombre de mariages qui se terminent par un divorce est de plus en plus important soit 1/3 de ceux-ci tant au Canada qu’en France. Le célibat c’est donc aussi la fin d’un style de vie.

Vivre plus vieux… seul

Finalement passé 50 ans c’est l’accroissement de l’espérance de vie qui risque de vous rattraper. Ce phénomène touche particulièrement les femmes. D’abord car celles-ci ont une espérance de vie plus longue mais également car en général elles ont tendance à choisir un partenaire plus âgé.

En terminant, je pourrais ajouter que le célibat est également « favorisé » par la société moderne. En effet dans le passé la société exerçait des pressions sur les célibataires pour qu’ils fondent leurs familles et surtout pour qu’une fois marié, ils restent en couple. Or, de nos jours il en est tout autre. Il n’est plus mal vu de vivre seul et si votre couple bat de l’aile vous avez la possibilité d’y mettre fin au moyen du divorce.

Un site de rencontres pour atypiques

Ce site est indéniablement différent des autres et pour cause, il propose aux Zèbres, Hypersensibles, Hypers Empathiques, HPI non détectés et autres êtres en douance ou surdouance de se retrouver, d’échanger et de partager voire de se remonter le moral.

On se sent moins seul(e), moins en marge de la société conventionnelle dans laquelle nous ne nous reconnaissons pas toujours même s’y nous nous efforçons de nous y fondre chaque jour.

Pour reprendre Charles Bukowski : « Le problème dans le monde est les personnes « intelligentes » sont pleines de doutes tandis que les personnes stupides sont pleines de confiance. »

Merci d’EXISTER pour nous et nous faire sentir moins seul(e) au quotidien et nous permettre de nous retrouver pour des rencontres toujours très constructives.

www.atypikoo.com

L’amour à distance est-ce possible?

Est-il possible d’entretenir une relation à distance? Avant d’y répondre il faut savoir qu’il y a des causes multiples qui peuvent engendrer une relation à distance soit les relations lors de vacances, l’éloignement pour raisons professionnels et les autres.

Les relations de vacances.

Il y a premièrement les relations qui naissent durant les vacances. Je ne m’attarderai pas longtemps sur ce type de relation car j’ai déjà écrit un article qui en traite en profondeur. Sachez que ce type de relation est souvent éphémère et ne dure en général que sur une courte période.

L’éloignement professionnel

Ces relations naissent généralement avant le début de l’éloignement et sont caractérisés par le départ d’un des membres du couple pour poursuivre des études ou entreprendre une carrière à l’extérieur. Dans le cas où le déplacement est pour une durée déterminé cela ne pose en général que peu de problème puisque le couple survit en entretenant l’idée que ce n’est qu’une situation temporaire. Bien évidemment, l’importance de la communication devient haute. Vous vous devrez de communiquer régulièrement tout en ayant une grande confiance envers l’autre. Pour ce qui est des transferts pour une période indéterminé, cela pose un plus grand défi. Si les conseils donnés plus tôt restent valides, il ne faudra pas oublier d’organiser des rencontres régulières en personne histoire d’alimenter la flamme de l’amour. Vous devrez également envisager que l’autre vienne éventuellement vous rejoindre.

Les autres types de rencontres

Finalement internet étant ce qu’il est, il se peut que 2 personnes dans des villes différentes se découvrent une passion commune. Encore une fois les défis de la distance sont nombreux. À court terme cette relation peut facilement survivre en autant qu’elle soit alimenté par des rencontres et communications régulières. Toute fois si vous désirez la faire perdurer il est fort problable que vous vous rapprocher à défaut de voir cette relation s’éteindre …

Pourquoi les femmes n’aiment pas faire des rencontres en ligne ?

De nos jours, on peut tout faire en ligne : payer ses factures, faire des achats et même obtenir un diplôme. D’ailleurs, beaucoup de femmes gèrent leur vie depuis leur ordinateur. Toutefois, elles sont plus réticentes à se tourner vers les sites de rencontres pour trouver l’âme sœur. À preuve les statistiques des sites de rencontres démontrent que les hommes sont bien plus nombreux.

Environ 30% des membres sont des femmes.

Il est difficile de donner un chiffre exact car le ratio homme versus femme varie d’un site à l’autre mais également dû au fait que les éditeurs n’aiment pas trop donner les chiffres exacts. Cependant plusieurs sources affirment que le ratio tourne autour des 30% de femmes. Malgré tous les efforts des sites (certains sites payant vont jusqu’à offrir la gratuite aux femmes), le ratio demeure assez similaire.

La sur sollicitation des femmes

Le ratio ainsi que certains reliquats des traditions font en sortes que les hommes désirant faire des rencontres doivent solliciter les femmes qu’ils jugent intéressantes. Or avec le ratio des sites de rencontres, cela a pour effet que les femmes reçoivent ne nombreuses sollicitations qui ne sont malheureusement pas toujours de bon goût … Des messages cru et maladroit du genre « veux-tu coucher avec moi ce soir » n’aident en rien l’image que les femmes ont des sites internet. Du coup les femmes deviennent blasées et les messages offensants de même que les messages tombant dans la banalité ont de fortes chances de se retrouver dans la corbeille en moins de 2.

Les femmes friandes de romantisme

Posez-leur la question et elles vous répondront qu’elles sont romantiques et qu’elles rêvent d’un amour teinté de romantisme. Or de voir défiler des profils tel un catalogue d’une boutique de vêtements donne peu de place au romantisme et peut même donner une image pathétique. Par peur du regard des autres elles se refusent souvent de s’inscrire.

Les avantages pour les femmes

Sans surprise, le ratio hommes / femmes est largement en faveur de ces dernières. En s’inscrivant, les femmes ont l’embarras du choix quand vient le temps de trouver l’amour. Même s’il y a des hommes peu recommandables, les sites de rencontres sont également fréquenter par des hommes sérieux, mais trop souvent timides pour aborder une femme ou trop pris par leurs carrières. Ils sont cultivés, bien éduqués et également à la recherche de l’âme sœur. De plus les profils détaillés peuvent être comparés avec l’image que vous vous faites de l’homme idéal.

Choisir le célibat !

Célibataire et fier de l’être est-ce possible? Si pour certains le choix de vivre en célibataire rime avec : « Tu dis ça parce que tu n’as pas encore rencontré le/la bon(ne) », pour d’autres c’est un choix conscient et sans regrets, du moins c’est ce qu’ils pensent. Étudions donc ce phénomène qui ne cesse de grandir. En 2007 les célibataires représentent près de 14 millions au Canada (source statistique canada) et 36,9% des plus de 15 ans en France (source INSEE).

Vivre seul(e) plutôt que mal accompagné(e)?

C’est la devise de bien des célibataires et on ne peut pas vraiment leur reprocher. En effet avant d’envisager de former un couple, il faut s’assurer de trouver la bonne personne. Or, si on ne la trouve pas, ce n’est pas une bonne idée de se contenter du premier venu peu importe les conséquences. Ainsi vivre seul fera en sorte que vous serez plus heureux(euse) que de vivre dans un couple mal assortie du quel émanera inévitablement des tensions malsaines.

Oui il est possible que la solitude pèse à certains moments mais vivre seul c’est vivre en parfaite autonomie. Aucun compromis à faire vis à vis l’autre. Aucun risque de jalousie, de dépendance. Réfléchissez bien avant de vous engager à contrecœur ou « en attendant ». Vous n’avez pas besoin d’un double pour vous réaliser, encore moins si vous ne l’aimez qu’à moitié.

Le risque de vivre en Ermite

Vivre seul ne rime pas avec vivre en ermite. Du moins, il vous faut l’éviter. Vivre en célibataire ne veut pas dire être seul en tout temps. Entretenez vos lient d’amitié en organisant régulièrement des activités avec vos ami(es) et même vos collègues de travail. Chorale le lundi, escalade le jeudi ou toutes autres activités sont également de bonnes idées pour entretenir votre vie sociale.

Vous avez choisi le célibat, certes, mais vous n’avez pas signé pour vingt ans d’abstinence. Vous pouvez accumuler les conquêtes en toute impunité, remplir votre tableau de chasse sans culpabiliser… Pour ça il existe de nombreux sites de rencontres qui regorgent de célibataires à la recherche d’aventures sans promesse de lendemain. Ainsi vous vivrez une aventure et profiterez de la compagnie d’une personne quand vous en aurez envie sans pour autant jouer avec les sentiments de l’autre. Car c’est bien important de ne pas jouer avec les sentiments de l’autre en laissant croire que vous vous cherchez du long terme si ce n’est pas le cas. Les aventures ça se fait dans la franchise et le respect de l’autre.

Ne regrettez rien et acceptez de changer d’avis

Vivre en célibataire est certes un choix mais c’est un choix qui n’est pas définitif. Il ne faut pas renoncer à la vie de couple pour toujours au risque d’ignorer une bonne personne qui pourrait s’intéresser à vous. Vivre seul c’est de faire une croix à la vie de famille et souvent aux enfants. Certains compensent en adoptant un animal de compagnie mais cela reste que ce n’est qu’en guise de compensation. Un animal ne remplacera jamais des enfants. S’investir à fond dans le travail peut également être tentant mais n’oubliez pas qu’une fois la retraite arrivé il ne vous restera rien sauf un fond de pension bien garni.

En conclusion, vivre en célibataire c’est possible en autant que cela vous rendre heureux(euse) et cela n’est pas nécessairement pour le reste de votre vie mais peut-être un état de fait pendant un certain temps en attendant de passer à autre chose.

Êtes vous cumulatif ou successif?

Lorsqu’il vient le temps de faire des rencontres sur internet il existe principalement 2 types de « chasseurs ». Je m’adresse donc à vous pour vous demander si vous êtes du type cumulatif ou successif ?

Le type cumulatif

Il s’agit d’un homme ou d’une femme qui commence par fréquenter un ou « prospects ». Vous aurez compris qu’à ce stade il est trop tôt pour dire si l’amour est présent. Ils se voient donc à quelques occasions, jasent sur internet et au téléphone. Puis le type cumulatif en vient à faire la rencontre d’une nouvelle personne. Il commence alors à discuter et va même aller jusqu’à la rencontrer. Or, il fréquente toujours sa première rencontre qu’il considère toujours comme partenaire potentiel. Le hasard peut même faire en sorte qu’il fréquente une troisième personne toujours dans le même but. Puis, quelques temps plus tard il finit par en choisir une et oh bonheur c’est réciproque.

Le type successif

Lui aussi n’est pas fermé aux rencontres multiples afin de choisir la bonne personne. Or, à la différence du type cumulatif, il se refuse de fréquenter plus d’une personne à la foi. Il en rencontre une première et attend de voir si les deux ont de l’avenir avant de trouver un ou une autre « prospects ». C’est donc seulement après avoir mis fin à sa relation avec la première personne qu’il envisage d’en rencontrer une autre.

De quel type êtes-vous?

Il est difficile de condamner un type par rapport à l’autre mais je suis plus d’avis qu’il est préférable d’être du type cumulatif. Il est plus efficace de cumuler les rencontres d’autant plus qu’on ne fait que rencontrer de nouvelles personnes. Bien sûr dès qu’on sent qu’une relation prend le dessus et devient sérieuse, il est impératif de mettre fin aux autres du moins de fermer la porte à une relation amoureuse pour ne garder que la possibilité de tisser des liens amicaux. Il n’est même pas nécessaire de cacher que vous fréquentiez plus d’une personne à la fois si c’est fait de façon respectueuse puisque l’un n’empêche pas l’autre et que vous n’allez pas vous marier le lendemain.

Libre ou en couple pourquoi s’en priver?

Vous est-il déjà arrivé de vous priver d’entamer une conversation avec une fille sous le simple prétexte que vous ignoriez si elle est célibataire ou non? Voilà une belle erreur que plusieurs commettent. Outre le fait que vous risquez de passer à côté d’une célibataire, il existe 3 principales raisons pour ne pas hésiter à l’aborder.

Pour élargir votre réseau social

Même si elle n’est pas célibataire, elle peut toutefois vous apprécier et vous aurez la chance de développer un lien d’amitié avec elle et son conjoint. Si elle vous apprécie, elle n’hésitera pas à vous présenter auprès de ses amies qui elles peuvent s’avérer êtres célibataires ou connaitre des célibataires.

La rencontre est un art qui s’apprend.

Personne ne nait expert en rencontre et en relations sociales. C’est tout un art qui doit s’apprendre pour être bien maitriser. De se « pratiquer » ne peux donc pas faire de tort. À chaque tentative vous retirerez des enseignements qui vous seront utiles plus tard.

Pour une aventure

Être célibataire c’est avant tout être libre de ses relations. Elle n’est peut-être pas intéressé à s’investir avec vous dans une relation à long terme mais elle peut être ouverte à une aventure. Évidement si vous êtes tous les deux célibataires ce sera plus facile que si elle est en couple mais dans certains cas il arrive des aventures extraconjugales. Je ne jugerai pas ici ce genre d’aventures car certains sont pour et d’autres y sont contres. Sachez toute fois qu’il existe des sites spécialisés dans les aventures extraconjugales.

Demeurer célibataire trop longtemps est-ce possible?

Alors que le célibat ne cesse de gagner du terrain face à la famille traditionnelle, le mythe de rester célibataire trop longtemps reste cependant encore bien présent. Dans une société qui prévilégie encore le bonheur à deux au détriment du célibat peux-on vraiment rester célibataire trop longtemps?

Quel est l’état de la vie de couple en 2017

Commençons par analyser la situation des ménages. 2016 était l’année du grand recensement de la population canadienne. Ainsi, on peut y apprendre que 28 % des ménages sont composés d’une personne seule et 9 % de famille monoparentale. C’est donc 37 % des ménages qui ne vivent pas en couple!

Nous vivons donc dans une ère ou le célibat n’a que très rarement été aussi présent dans notre société. De plus en plus d’hommes et de femmes vivent seuls.

À partir de quand pouvons-nous parler de célibat trop long?

Selon Megan Stubbs, sexologue et experte relationnelle basée dans le Michigan (États-Unis), « il n’y a absolument aucun délai défini comme étant trop long pour être célibataire ». Pour la simple et bonne raison qu’il n’existe pas non plus de définition précise du célibat.

Certains diront que c’est l’absence de relation amoureuse unissant 2 personnes. Que faire alors des personnes qui ont des amants ou de celles qui ont des relations de plusieurs mois qui ne deviennent jamais sérieuses ? Bien qu’étant officiellement célibataires, ces hommes et femmes ont cependant des rapports affectifs avec d’autres. Toujours est-il qu’on peut se demander si ces personnes sont vraiment célibataires bien qu’on ne puisse pas affirmer que ces personnes sont en couple. Il existe donc bien une zone grise lorsqu’on tente de définir ce qu’est le célibat.

De toute façon, vous ne trouverez aucune étude qui peut sérieusement affirmer que passer un certain moment, un homme ou une femme est célibataire depuis trop longtemps. Le célibat à long terme n’engendre pas de maladie tant physique que psychologique. Certes,  le célibat peut s’accompagner de solitude et d’ennui, mais ce n’est pas le car de tous les célibataires. Certains en profitent pleinement. À l’opposé certaines personnes en couple ont tendance à s’isoler et à moins voir amis et famille. Cet isolement social peut tout autant être dommageable.

La moitié des Belges seront célibataires d’ici 2060

Le Bureau du Plan de Belgique vient de publier une analyse des perspectives des ménages belges d’ici 2060. Rapportées par Het Nieuwsblad et de Standaard, les projections démontrent que d’ici 2060, la moitié des ménages belges seront composés d’une seule personne.

Les raisons du célibat en Belgique

Déjà depuis 2016, un ménage sur trois est composé d’une seule personne. Malgré qu’il soit de plus en plus facile de faire des rencontres via les sites internet, la proportion de célibataires en Belgique ne cesse d’augmenter. C’est en projetant cette hausse constante que le Bureau du plan en arrive au constat d’ici 2060. Le sociologue de l’université d’Anvers, Dimitri Mortelmans, attribue cette hausse des célibataires d’une part au vieillissement de la population et au souhait d’indépendance des Belges.
Si d’une part le vieillissement joue un rôle avec un nombre grandissant de veufs et de veuves, les jeunes ont aussi une part de responsabilité dans l’accroissement du taux de célibat. Les jeunes aiment profiter pleinement de leur indépendance, autant sur le plan personnel que professionnel.

Cette indépendance passe par une vie amoureuse sans attache inhérente à la vie de couple. Ils sont donc de plus en plus nombreux à être célibataires et heureux de l’être.
L’effet de la séparation

Un troisième facteur

Philippe Donnay du Bureau du Plan, évoque aussi un troisième facteur. Les hommes de 30 à 50 ans ont très souvent connu un divorce. Or, plusieurs d’entre eux ne désirent pas s’investir de nouveau dans une vie de couple.

Bien évidemment tous ces chiffres ne sont qu’une projection dans l’avenir de la tendance actuelle. Il est possible que la situation change d’ici 2060, mais à l’heure actuelle, il n’existe pas de signe que la situation soit appelée à changer.